TRES BONNE QUESTION , MA FOI
!!!
CE QUI EST CERTAIN, C’EST QU’IL Y A
AVAIT
ET AURA
DU MONDE
SUR LA CÔTE D’OPALE,
ET DANS LE MORBIHAN :
ILS SONT LA .
ARRIVES ? ATTERRIS ? APPARUS ? EMERGES ?
EN TOUT CAS
ILS SONT BIEN LA OU ON NE LES ATTENDAIT PAS !!!
UNE CERTITUDE , ils sont aussi là où l’on peut, nous, s’y attendre,
C’est-à-dire en librairie, chez fnac.com, sur amazon etc :
PRELIMINAIRE AU SALON DU LIVRE FRANCOPHONE DE PERSAC, en Vienne,
15 septembre 2018
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Château de la Mothe
A côté de Barbara Constantine ( fille d’Eddy ! )
Près de Myriam Senghor ( petite nièce de feu le Président du Sénégal )
Avec …. RADIO MONTMORILLON
Ecrivain, auteur de nombreux ouvrages sur l’aviation française en 1914-1918 et sur la bataille aérienne de Verdun, Membre de l’Académie des Sciences d’Outre-mer.
EN PREMIERE PHOTO , Georges PAGE et Michel HAYART, Vice-Président
Puis au-dessous et de gauche à droite, photo extraite de l’assemblée générale du 3 décembre 2016 à POITIERS :
Michel Soulard, de Poitiers, écrivain et magnifique avocat de la Roumanie, Jacques Marzac, Georges Pagé et l’auteur du Palimpseste de l’espérance.
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Quand ?
Les 28 et 29 MAI 2016
Où ??
Au 8ème CHAPITEAU DU LIVRE de St-Cyr-sur-Loire
Quoi donc ???
« LA GRANDE DICTEE » …
Mais de qui ????
C’est bien elle !
Applaudie à juste titre comme une femme de lettres et de pensées fortes, sait-on assez que Natacha POLONY sait aussi être maître des mots ?
Et c’est un extrait de texte de Julien Gracq qu’elle a choisi pour nous faire plancher sur notre magnifique langue française :
« Ils restaient là quelquefois assez longtemps sans rien dire. La forêt au‐delà de la frontière laissait glisser jusqu’à eux des bruits légers – auxquels malgré eux ils tendaient l’oreille – pareils à ces menues épaves ininterprétables que rejette la mer sur une grève et où l’œil du promeneur s’attache machinalement : cette lisière sourdement alertée où les forêts patrouillées de la guerre venaient border on ne savait quel silence respirant et heureux qui tendait l’oreille attirait Grange et l’intriguait. Hervouët jetait sa cigarette et buvait quelques gorgées à son bidon ; ils quittaient la laie et s’engageaient à droite dans un layon qui suivait à peu de distance la frontière. À partir de là ils cessaient de parler. Ils avançaient en courbant un peu le dos – sur un sol mou tapissé de feuilles pourries où le pas s’étouffait – au long de ce qui semblait être une trouée sommaire et déjà ancienne de grosse bête forée au travers du hérisson de branches des taillis. Quand Grange braquait un instant devant lui sa torche électrique, le cône de lumière tirait de l’ombre violemment les arceaux serrés des branches basses qui se soudaient au‐dessus du layon en une voûte de brindilles : on cheminait là perdu comme un insecte dans la raie d’une fourrure – quand il éteignait sa lampe, peu à peu du cœur de la nuit noire transparaissait au‐dessus de sa tête une coulée longue et faiblement phosphorescente qui se déchirait aux pointes des branches. À mesure qu’ils avançaient, la nuit changeait : la torpeur de minuit s’élevait peu à peu de la cime des arbres, et l’air plus léger des rêves infusait les sous‐bois d’un bleu d’encens vaporeux ; la lune se levait et rendait à perte de vue la terre guéable aussi doucement qu’une embellie sèche les chemins. Derrière lui, Grange entendait seulement le pas d’Hervouët qui faisait craquer parfois les branches sèches, et le cliquetis régulier de son fourreau de baïonnette qui reprenait chaque fois qu’il le lâchait pour boire en marchant une gorgée à son bidon. En dirigeant la torche à gauche vers la profondeur du sous‐bois, on apercevait au ras du sol les fils luisants tout perlés de gouttes, et les piquets du réseau bas qui courait le long de la frontière – quelques paires d’yeux étincelaient une seconde englués dans le faisceau de lumière, et on entendait crouler à travers les feuilles la petite foudre lourde des lapins. À droite, le regard glissait sur une longue plongée de forêt qui descendait vers les ravins affluents de la Meuse ; une lune sauvage voguait très haut au‐dessus des bois noirs ; les fumées des feux de charbonniers que le froid de la nuit rabattait et alourdissait semaient le cirque plat des bois de larges flaques cendreuses qui tournaient lentement flottées sur la nuit, et se soulevaient parfois sur leurs bords avec la molle ondulation circulaire des méduses. Grange regardait, le front tiré par l’attention et par le sentiment d’un suspens étrange. Il y avait un charme puissant à se tenir là, si longtemps après que minuit avait sonné aux églises de la terre, sur cette gâtine sans lieu épaissement saucée de flaques de brume et toute mouillée de la sueur confuse des rêves, à l’heure où les vapeurs sortaient des bois comme des esprits. »
Un balcon en forêt
Un évènement … politique ? NON
économique ? Nenni
scientifique ? Point
Mais alors ???
Tout simplement CULTUREL , ce qui n’est pas rien.
L I T T E R A I R E , plus précisément !
non pas au Palimpseste de l’Espérance, mais à ces deux très très belles œuvres :
en présence de Gilles BELY, son nouveau président, d’une cohorte d’honorables membres et dignitaires dont un autre président, celui du Conseil Départemental, Jacques AUXIETTE, qui a opportunément cité Antoine de Saint-Exupéry :
« Lire et écrire, c’est refuser les ténèbres »
Dont acte.
( Une interview de Michel Hayart, sociétaire et surtout futur candidat potentiel de la S.E.V. , parmi moult autres confrères, dans les limbes de l’avenir d’un prochain roman. Car il n’est pas interdit de tout faire pour réussir à créer toujours mieux )
Et qu’y faire un dimanche d’octobre ???
Et bien par exemple y rencontrer Angèle KOSTER et
Jacques MARZAC, respectivement présidente et
vice-président de la Société des Auteurs de Poitou-Charente !
A quel endroit ? mais ici bien sûr :
devant les magnifiques peintures et photo-toiles du
célèbre PICH, de l’île de Ré.
QUE DU BEAU MONDE POUR LES RENCONTRER LES 13 ET 14 JUIN 2015, place Régine Desforges :
OLYMPIA ALBERTY / VLADIMIR FEDOROVSKI / MAREK HALTER DOUGLAS KENNEDY / DANIEL PICOULY / JACQUES MARZAC bien sûr !
Plus 114 auteurs de tous les horizons de la Plume et de la Réflexion.
Michel Hayart se cachait là, attendant son heure :
Communiqué de presse
5ème Printemps du livre
Salle polyvalente
SAINT MEDARD D’AUNIS
Dimanche 19 avril 2015 de 9 h à 18 h.
Dans le cadre de ses activités culturelles « La Fourmilière » Association culturelle et sportive de saint Médard d’Aunis, organise avec le soutien de la municipalité et de la bibliothèque de Saint Médard d’Aunis son 5ème Printemps du livre. .
Le thème choisi cette année est « l’art postal »
Pratiquer l’art postal c’est le plaisir de créer, de correspondre et d’échanger des créations artistiques par la poste
Plus de 40 auteurs locaux et régionaux retrouveront une fois encore le public chaleureux du pays d’Aunis.
Au titre des auteurs, l’invité d’honneur est Michel HAYART membre de la Société des Auteurs de Poitou-Charentes qui présente « le Palimpseste de l’espérance » encensé par le magazine « Femme Actuelle »
Rien n’est écrit, leçon d’espoir : sur un rythme endiablé et en jouant avec brio avec la langue française, Hayart dresse un tableau sans complaisance et plein d’humour de la situation économique actuelle. Il nous parle d’un homme qui se retrouve au chômage et va tout faire pour se remettre sur les rails.